Discours du Président de la Fédération camerounaise de football lors de la cérémonie des ballons d’Or Camerounais.
« Chers footablleurs, chers arbitres, je vous invite à écrire vos histoires. Je vous invite à marquer votre histoire. Je vous demande de nous permettre de raconter votre histoire. Vous autres, je vous invite à marquer l’histoire comme certains que j’ai connues quand je portais le plus beau maillot au monde, celui de l’équipe nationale du Cameroun. J’ai eu des ministres qui m’ont marqué lorsque j’étais joueur. J’ai le ministre Bidoum Nkpwatt avec qui nous avons eu l’immense chance de gagner deux Can. J’ai eu quelqu’un qui a totalement changé la vie au sein de l’équipe nationale et il est ici dans cette salle. Vous allez me permettre de m’arrêter et lui dire merci. Parce que chaque fois que j’ai l’occasion d’aller chez lui, je l’appelais papa. Mais je n’ai jamais eu l’occasion de lui dire combien je l’appréciais. Maintenant que je suis presque à la fin de mon mandat, monsieur le ministre chargé des missions à la présidence, je vous dis merci. J’aimerais aussi dire merci à mon ministre de tutelle avec qui nous avons vu les choses sous des angles différents. Mais ça nous a permis de nous améliorer »Samuel Eto’o : « Chers footballeurs, je vous invite à écrire vos histoires »
Discours du Président de la Fédération camerounaise de football lors de la cérémonie des ballons d’Or Camerounais de ce vendredi 28 février 2025.
« Chers footablleurs, chers arbitres, je vous invite à écrire vos histoires. Je vous invite à marquer votre histoire. Je vous demande de nous permettre de raconter votre histoire. Vous autres, je vous invite à marquer l’histoire comme certains que j’ai connues quand je portais le plus beau maillot au monde, celui de l’équipe nationale du Cameroun. J’ai eu des ministres qui m’ont marqué lorsque j’étais joueur. J’ai le ministre Bidoum Nkpwatt avec qui nous avons eu l’immense chance de gagner deux Can. J’ai eu quelqu’un qui a totalement changé la vie au sein de l’équipe nationale et il est ici dans cette salle. Vous allez me permettre de m’arrêter et lui dire merci. Parce que chaque fois que j’ai l’occasion d’aller chez lui, je l’appelais papa. Mais je n’ai jamais eu l’occasion de lui dire combien je l’appréciais. Maintenant que je suis presque à la fin de mon mandat, monsieur le ministre chargé des missions à la présidence, je vous dis merci. J’aimerais aussi dire merci à mon ministre de tutelle avec qui nous avons vu les choses sous des angles différents. Mais ça nous a permis de nous améliorer »